Thomas Pesquet Parents – Le jeune homme est à la fois bien éduqué et en bonne forme physique; il communique couramment en cinq langues et pratique un certain nombre de sports, dont la plongée sous-marine et le judo. Thomas Pesquet obtient son brevet de pilote et un stage au Centre spatial de Cannes-Mandelieu après avoir obtenu son diplôme d’ingénieur aéronautique. Thomas travaille sur l’autonomie des missions spatiales depuis son embauche par le Centre National de Recherche et de Développement Spatial en 2002.
Le jeune homme, alors âgé de seulement 28 ans, obtient sa licence de pilote de ligne en 2006. Il postule pour l’astronaute 2008 de l’Agence Spatiale Européenne. programme cette même année. Il a été accepté dans le programme et suit actuellement une formation au Centre européen des astronautes en Allemagne.
Thomas Pesquet s’entraîne depuis 2010 pour faire partie de l’équipage d’astronautes qui reviendra vers la Station Spatiale Internationale en novembre 2016. Le 17 novembre 2016, le jeune astronaute s’envolera vers la Station Spatiale Internationale et y restera 196 jours. Le 2 juin 2017, il a quitté la station spatiale.Lancé de Cap Canaveral en Floride le 23 avril 2021, il passera les six prochains mois à la Station spatiale internationale.
Côté vie privée, Thomas Pesquet est ami avec Anne Mottet, ingénieure à l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO).Décollant le 17 novembre 2016 du cosmodrome de Baïkonour au Kazakhstan dans le cadre de la mission Soyouz MS-03 vers la Station spatiale internationale (ISS) pour le programme de recherche Proxima, il devient le dixième Français à voyager dans l’espace. Thomas Pesquet a mené une centaine d’expériences au cours de ce voyage ; la moitié a été créée par l’Agence spatiale européenne ou le Centre national d’études spatiales, et l’autre moitié a été créée par la NASA.
En juillet 2020, il embarquera pour son deuxième voyage sur la capsule Crew Dragon de la société américaine SpaceX. L’Agence spatiale européenne l’affecte à la première mission jamais entreprise par un Européen à bord de l’équipage du Dragon, qu’ils ont surnommé Alpha.Le 23 avril 2021, Thomas Pesquet s’envolera pour la Station spatiale internationale (ISS) pour la deuxième fois de sa vie. Après sa mission de six mois, il deviendra le premier commandant français de la Station spatiale internationale.
Le père de Thomas Pesquet est professeur de mathématiques et de physique, et sa mère est administratrice académique ; il est né le 27 février 1978 à Rouen, Seine-Maritime. Baptiste, son frère aîné, est ingénieur et enseignant. Après un bac scientifique au lycée Jehan Ango de Dieppe en Normandie, il entre en classes préparatoires au lycée Pierre-Corneille de Rouen et obtient en 2001 son diplôme d’ingénieur aéronautique à l’université Supaéro de Toulouse. Il passe un an dans le programme de maîtrise en aéronautique de l’École Polytechnique de Montréal, de l’Université Concordia et de l’Université McGill.
Le français, l’anglais, le russe, l’espagnol, le chinois mandarin et l’allemand ne sont que quelques-unes des langues que Thomas Pesquet maîtrise. Outre le judo, il est ceinture noire en alpinisme, basket, kitesurf, parachutisme, rugby, ski, squash, naturisme, la voile et les courses cyclistes. Il se trouve également être un saxophoniste qualifié.
La Fédération Française d’Aéronautique et d’Astronautique (3AF), l’Institut Américain de l’Aéronautique et de l’Astronautique (AIAA), le Club des Explorateurs, l’Association des Explorateurs de l’Espace (ASE), la Société Française de l’Exploration (SEF), et la Société Française de Judo, Jujitsu, Kendo , et le Black Belt Club des disciplines associées (FFJDA) sont toutes des organisations dont il est membre.
A partir de 2001, Thomas Pesquet travaille sous la tutelle de François Paoli en tant qu’ingénieur stagiaire à l’usine de construction de satellites d’Alcatel Space à Cannes, connue sous le nom de Centre spatial de Cannes – Mandelieu. Là, il travaille sur un logiciel de conception de systèmes embarqués. La même année, il rejoint GMV Innovating Solutions (en) à Madrid, en Espagne, en tant qu’ingénieur spécialisé dans la conception dynamique de systèmes de propulsion d’engins spatiaux destinés à des missions de détection à distance.
Thomas Pesquet est engagé par l’Agence spatiale française pour travailler sur l’autonomie des missions spatiales, la conception du futur segment sol de l’agence et l’harmonisation des technologies spatiales européennes entre 2002 et 2004. Le Comité consultatif pour les systèmes de données spatiales (CCSDS) est un organe de travail international chargé de l’espace systèmes de gestion de données, et il représente le Centre national d’études spatiales au sein de ce comité.
En 2008, alors que l’Agence Spatiale Européenne lance une nouvelle campagne de recrutement d’astronautes, Thomas Pesquet dépose sa candidature pour rejoindre le Corps des Astronautes Européens. Parmi un groupe de 8 413 candidats, il a été sélectionné comme l’un des six finalistes en mai 2009.
Il a le plus jeune âge de tous les astronautes de l’Agence spatiale européenne. La formation initiale au Centre européen des astronautes (EAC) à Cologne, en Allemagne, commence à la mi-2010 et dure jusqu’à la mi-novembre de la même année. Pendant ce temps, les astronautes en herbe d’horizons très variés (médecine, ingénierie, aviation, etc.) suivent un enseignement unifié.
Pendant son séjour en Russie pour une formation, Thomas Pesquet étudie le russe qui, avec l’anglais, est l’une des deux langues officielles à bord de la Station spatiale internationale. Après avoir terminé sa formation, il a commencé à travailler comme officier des communications en vol (Eurocom) pour un groupe d’astronautes. Il supervise également des projets à l’Agence spatiale européenne, notamment l’établissement de partenariats avec des acteurs émergents comme la Chine.
En 2017, l’Association généalogique du pays de Bray a remis à Thomas Pesquet une généalogie sur laquelle ils travaillaient depuis des mois. Ils l’ont donné à ses parents alors qu’il était encore dans l’espace. Hervé Cuisy, Marie-Jeanne Lefebvre, Alfred et Evelyne Giusti, et Pascal Demouchy, président du cercle et archiviste municipal d’Eu, ont travaillé ensemble sur ce projet, et Jean-Claude Leclerc a apporté son arbre généalogique.
Un arbre généalogique approfondi révèle que les parents de l’astronaute, Benoît, professeur de mathématiques et de physique, et Chantal, institutrice, résident actuellement dans le centre géographique de Caux. En effet, près des neuf dixièmes des ancêtres de l’astronaute sont nés et ont vécu en Seine-Maritime, notamment au Havre et à Harfleur.
Une généalogie étonnamment pointue en termes de géographie et de perspective, avec des racines essentiellement dans une poignée de cantons du Morvan, proches de celles de sa confidente Claudie Haigneré. Hormis quelques ramifications extrêmement rares, l’arbre généalogique de Thomas Pesquet n’atteint le Pas-de-Calais au nord (Herly, Rumilly, Aix-en-Herny…) qu’au XVIIIe siècle.
Bien que cette généalogie n’ait pas encore été publiée, elle a été référencée sur Geneanet, où elle donne 55 résultats pour le couple parental et 86 cousins sur Geneastar (où elle a été proposée par Benoit Maury et Astrid Noel, qui ont cependant choisi de restreindre leurs recherches à leurs ancêtres paternels). A celles-ci s’ajoutent quelques lacunes qui peuvent être comblées à l’aide des index d’actes des XIXe et XVIIIe siècles disponibles sur Filae (c’est le cas, par exemple, des rues partant des quartiers de LASNON, BRAQUEHAYE, et BARBIER aux villes d’Hautot-le-Vatois, Baons-le-Comte et Auzebosc). Également compatible avec d’autres arbres généalogiques en ligne sur Geneanet, comme celui d’Agnès Henri pour les Barbier et celui de Neandrade pour les Bure/Burey.
Ainsi, la lignée familiale PESQUET se retrouve sur Geneastar, à commencer par le grand-père, agriculteur et maire de Grainville-la-Teinturière : une lignée modeste commençant par un ancêtre nommé Pompée Eugène, domestique à Saint-Laurent-en-Caux en XIXe siècle, et avant lui des tisserands, des manouvriers et un batteur en grange voyageant de Crasville-la-Roquefort à Une famille que quelques généalogistes ont dépassée en identifiant les deux parents comme Pierre PESQUET et Marie BENOIT. Un arbre d’ascendance avec quelques aberrations notables, comme Pierre DEROUEN (1556-1923), écuyer, seigneur de Commanville et bourgeois de Rouen.
D’un point de vue plus matériel, on peut ajouter que la lignée inédite de la famille GOSSET est restée dans le département et remonte à Nicolas GOSSET et Marie HAUVILLE, qui se sont mariés à Sainte-Marie-au-Bosc en 1695. Il y a eu une brève incursion à Graval, Pays de Bray, et cerise sur le gâteau, Nicolas et Marie ont eu une fille prénommée Elisabeth VOLÉE (née en 2061).
Enfin, sachez que les généalogistes ont trouvé amusant de retracer l’ascendance de notre astronaute à travers ces branches, découvrant qu’il est lié à de nombreuses personnes bien connues. Parmi ces proches figurent la comédienne Valérie Lemercier (six fois !), le compositeur Georges Bizet (deux fois !), l’acteur David Douillet (deux fois !), et la comédienne Julie Gayet (deux fois !). En attendant que les choses aillent mieux ?
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