Camille Anguenot Verdict – Le corps de Théo Decouchant, 23 ans, a été découvert dans une maison haut-saônoise appartenant à un boulanger de 18 ans sans antécédent criminel apparent. La meurtrière est partie rendre visite à son amant à Bordeaux puis a passé une semaine à sillonner la France aux frais de sa victime. Récit.Marine, Céline, Pauline, David et Théo étaient aussi proches que cinq doigts d’une main.
Il y avait cinq jeunes adultes qui s’étaient regroupés. Quand on additionne toutes les années de son adolescence, cela fait deux fois plus d’années, en Franche-Comté que partout ailleurs. Depuis que Théo a cessé de répondre à leurs salutations le matin du 30 novembre, les quatre autres sont plus inquiets. Avec ce “mauvais ressentiment” qu’il préférerait mourir plutôt que de lui faire face à nouveau dans la vraie vie.
Mort de Théo : l’auteur supposé dit : “C’était mon pigeon”
Le procureur de la République a enquêté sur l’assassinat, les 29/30 novembre, de Théo Découchant. Il a notamment décrit le processus d’interrogatoire de Camille Anguenot, notamment comment elle a acheté des bijoux avec la carte de crédit du défunt le jour de son décès. Lors d’une conférence de presse jeudi, le procureur de la République Étienne Manteaux a fourni un aperçu complet des enquêtes menées jusqu’à présent dans le cadre de avec la mort de Théo Decochant.
Il a repris là où il s’était arrêté avec les enquêtes commencées le 1er décembre après la visite de sa mère au commissariat et qui ont abouti cinq jours plus tard à une conclusion dramatique avec la découverte du corps sans vie d’un jeune homme de 23 ans au domicile de Camille Anguenot à Oiselay-et-Grachaux (Haute-Saône).
Elle affirme avoir été victime d’agression sexuelle.
L’enquête a révélé que c’était la cause de la mort du jeune homme. Dans ses interviews, elle raconte que le 29 novembre, au soir, elle s’endormirait en sa présence. Elle l’aurait frappé au visage pour l’envoyer courir se réfugier dans la cuisine. Il a continué à la harceler et a inventé de nouvelles façons de la toucher.
C’est ce qui, comme l’indique Étienne Manteaux, aurait poussé maman à saisir le couteau de cuisine et à lui porter un coup fatal au ventr Pour cette raison, il a probablement arraché une longueur de ficelle à l’un de ses vêtements, reculé et s’est étranglé. Puis, craignant qu’il ne se réveille, elle lui aurait attaché les mains derrière le dos.
Une variante qui “interroge” les enquêteurs et le parquet au regard des critères suivants : “La demoiselle lui dit qu’elle l’a endormi à quatre heures du matin. A 7h06, elle envoie un texto sur le téléphone de la victime, “Travaille bien, merci pour hier c’était vraiment bon” » — susceptible d’agacer les enquêteurs. Munie de la voiture de la victime et d’une carte bleue d’urgence, elle se rend à la gare de Devecey dans le Doubs à 8 h. Elle quitte la maison à 14 h 50 et se dirige au centre commercial Châteaufarine pour effectuer un achat de bijoux avec la même carte.
Sans la documentation appropriée, Camille Anguenot se rend en Gironde pour voir un homme de 27 ans son aîné.Elle a demandé à son ex de retirer les plaques d’immatriculation du défunt de la voiture.
Son parcours ardu ne s’arrêtera pas là. Elle part à 3 heures du soir rendre visite à un ex à Dijon. Ils ont dormi ensemble toute la nuit. Elle lui ordonne de localiser les plaques d’immatriculation contrefaites et de les apposer sur la voiture de la victime. Je me demande ce qu’il va faire. Le quatrième jour, elle va acheter des sacs réutilisables et du ruban adhésif. Plus tard, elle va à un bal.
Un de ses amis l’a rencontrée tard dans la nuit et lui a dit qu’elle lui semblait “normale”. Le 5 décembre, elle est impliquée dans un accident en Haute-Marne impliquant la voiture de la victime. Pour passer la nuit avec elle, elle demande à un nouvel “ami” de venir la retrouver. Quand il reviendra le lendemain, elle l’appellera à l’aide.
Selon le procureur, elle a fait connaître son désir d’acquérir un moyen de transport vers Bordeaux sur les réseaux sociaux entre les 28 et 29 novembre. Elle a contacté son ex en Côte d’Or, mais celui-ci a refusé, estimant qu’elle était trop “volatile”. Après qu’il l’ait refusée, elle a contacté Théo Decochant. Elle prévoit de se référer à M. Decouchant comme son “pigeon” tout au long de ses essais. C’est la phrase exacte qu’elle a utilisée. Qu’elle voulait de l’argent, mais qu’elle n’est pas d’accord avec son plan pour le tuer.
Elle est enfermée à la maison d’arrêt de Lutterbach. Camille Anguenot est montée de garde après avoir vu le meurtre de Théo Decouchant. Après avoir passé la nuit au domicile d’une jeune femme de 19 ans à Oiselay-et-Grachaux, en Haute-Saône, le 29 novembre, un homme de 23 ans a disparu dans la nuit du 30 novembre.Il n’y a plus aucune trace de vie à voir. Camille Anguenot avait dit que le jeune homme était sorti de chez lui cette nuit-là.
Lundi, l’appartement de la jeune femme disparue a été perquisitionné, et le corps sans vie de l’homme a été retrouvé.La jeune fille a avoué avoir poignardé Theo avec un couteau, mais heureusement, la blessure n’a pas été mortelle. Le jeune homme a ensuite été étranglé à mort par elle. “Meuf, comment oses-tu partager ça après l’avoir tuée ?
Tu es complètement fou, et tu es aussi un gros connard. J’espère que les mauvaises choses que tu fais reviendront vous hanter et que vous subissiez les conséquences de vos actes , pour une fois que justice est faite et que vous n’avez plus à passer vos journées en prison remplies de honte et d’agonie ».
Après s’être absenté en décembre en raison d’une blessure génitale, Joseph Terhec effectuera son retour en compétition au Qatar lors des Championnats du monde. Le judoka licencié de Saint-Raphaël (+100 kg) a passé le 5e Week-End bleu à Hyères en marge de la 54e Semaine olympique française de la voile (SOF) avant de retrouver son équipe dimanche.
Le coup de blues ne projette plus son ombre sur lui. Raphael Terhec, judoka, avait l’air reposé, serein et déterminé le matin du dernier dimanche d’avril à Hyères, lors du 5e Week-End bleu, en marge de la 54e Semaine Olympique Française de Voile (SOF).
Le but de tous ces rassemblements ? Brigitte Henriques, présidente du Comité Olympique et Sportif Français (CNOSF), a déclaré que l’objectif de l’organisation est de “créer une dynamique inédite autour de l’équipe de France” en “mobilisant, accompagnant et fédérant les sportifs” pour assurer le succès de la Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024.
Avec une joie non dissimulée.
Six mois après son dernier combat, le sociétaire de 28 ans de la sélection tricolore mixte pour les Mondiaux de dimanche à Doha (Qatar) s’est senti comme un poisson hors de l’eau. À distance de marche du Grand Bleu. Un mystérieux cœur bleu en mer.
Ma vision de la voile a changé.
Vendredi, un groupe d’athlètes s’est lancé dans une activité de canotage pour lancer la fin de semaine. Joseph Terhec, tu viens de glisser dans un très grand moment. Et le lendemain matin, nous avons entendu Jonathan Lobert, médaillé de bronze olympique et champion national finlandais de planche à voile. Il a commencé par partager des conseils perspicaces sur la prise de parole en public en comparant nos propres expériences.
Ensuite, il nous a donné un cours accéléré sur l’histoire de la voile pour nous préparer aux courses pour les médailles cet après-midi. Ses descriptions des modèles de vent, des plans de vol pour trouver des bouées, l’océan et d’autres sujets m’ont aidé à donner un sens à un monde très différent du mien. Mais cela a incontestablement modifié mon point de vue. Je n’aurais jamais imaginé que le voile soit aussi tangible et stratégique. J’ai découvert un véritable terrain d’entente avec le judo.
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